A impossibilidade de morrer e a desconstrução da morte : Blanchot e Derrida

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2015
Autor(a) principal: Milone, Jerônimo de Camargo
Orientador(a): Souza, Ricardo Timm de
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Filosofia
Departamento: Faculdade de Filosofia e Ciências Humanas
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://tede2.pucrs.br/tede2/handle/tede/5903
Resumo: Le texte suivant cherche d’offrir des moyens théoriques pour une interprétation à propos de la mort chez Maurice Blanchot et Jacques Derrida. Les points d’importance dans lesquels le travail s’approfondit sont les suivants. D’abord, on présente la pertinence de la mort dans la pensée blanchotienne, soulignant sa relation avec les pensées de Hegel, Heidegger et Bataille, entreprenant une lecture principalement de « La littérature et le droit à la mort ». Pourtant, il s’agit ici de présenter, au contraire, des arguments qui dévoilent une séparation de Blanchot aux interprétations de la mort dans la pensée des auteurs susmentionnés, mettant en évidence sa plus grande importance dans la discussion avec Derrida et, dans un certain sens, avec Levinas – cette perspective apparaît, surtout, dans L’entretien infini et L’écriture du désastre. Après on présente, spécifiquement chez Derrida, la portée de la mort pour le développement de la pensée derridienne en général et de la déconstruction. Ainsi, il s’agit de souligner les arguments derridiens, dans des partes relativement diverses de son oeuvre, pour mettre en évidence la centralité, dans la déconstruction, d’une critique de la mort et de l’appréhension philosophique de la mort comme moyen archétype d’une sensification qui légitime le discours conceptuel. À cet instant, on s’affaire à démontrer l’importance, presque axiomatique, d’une critique de l’utilisation de la mort pour le mouvement de la déconstruction, présentant donc, à partir de Le Séminaire La peine de Mort, la déconstruction de la mort comme un’aspect particulièrement important dans l’ampleur de la pensée de Derrida Finalement, on s’affaire à présenter la convergence et l’intimité entre les pensées de Derrida et Blanchot, tel que ses analogues perspectives aporétiques, qui insistent sur l’irréductibilité de la mort au travail de la pensée, comme un élément essentiel – au-delà et en-deçà de l’essence – de l’altérité. Ainsi, l’impossibilité de mourir comme dénonciation du mouvement dialectique, elle se rassemble à la déconstruction de la mort en tant qu’une critique de la légitimation de la vérité à partir d’une déterminé appréhension de la mort. Outre ces concepts, on insiste sur les caractères de la poésie et de l’altérité, exprimant l’implication de cette question aux pensées de l’éthique et de l’esthétique en tant que formes d’un témoignage incommensurable aux tentatives de circonscription de la vie.