Detalhes bibliográficos
| Ano de defesa: |
1991 |
| Autor(a) principal: |
Leal, Antonio da Costa |
| Orientador(a): |
Almeida, Zilah Xavier de |
| Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
| Tipo de documento: |
Dissertação
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| Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
| Idioma: |
por |
| Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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| Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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| Departamento: |
Não Informado pela instituição
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| País: |
Não Informado pela instituição
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| Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10438/9271
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Resumo: |
Plutôt que défendre des idées, cette thése suggère presque trois cents jeux graphiques – de la ligne à la lettre – comme alternative poétique et libertaire pour le processus d’alphabétisation ci-compris comme expérience vécue avec l’écriture, pas comme simple exercice, copie ou répétition escolaires. Cette alternative poétique et libertaire arrivée lorsque l’enfant commence à dresser ses premières lignes, le remet devant l’écriture comme rituel, comme jeu qui rend sa subjectivité ainsi exprimée, beaucoup plus forte. Il faut retire l’écriture de l’estrict sens de la raison escolarisée. Nous avons tous besoin de revisiter les rituels primordiaux de l’écriture – là oú elle est traitée comme jeu, comme devinette, mais surtout comme poésie. Il faut aller mil fois boire à la source des eaux cristalines – et y parcourir les enchantements de lignes et diagrames, des graphismes de la nature et du corpos, des graphismes littéraux – que se transformeront en symboles, en signes, en codes. |
