Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2009 |
Autor(a) principal: |
Munhoz, Angélica Vier |
Orientador(a): |
Silva, Tomaz Tadeu da |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/18254
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Resumo: |
Presque une scène. La chorégraphie matérialise un trait. Ce qu'on écoute ce sont des mouvements et des mélodies. Un jeu d'astuce. Ce qui vient ensuite ne pourrait pas être inattendu. Devant les voilements et les opacités, face au lugubre de la nuit, la scène s'ouvre au soleil d'autres parages. Les corps parlent une autre langue, comme si c'était possible de courtiser une santé. La fin du spectacle. La fin de partie de la danse. Il n'y existe qu'une fantaisie qui se déguise dans la répétition infinie parmi le déjà dansé, le déjà vu et le déjà dit. Tout procède dans l'extrême résistance de faire mourir sa propre conscience. Tout est si léger et si vif dans l'extase du mouvement. Au plus haut de la fête, quand les solitudes s'ouvrent aux magmas et les passions regrettent ses flammes, les corps sont revisités par les dieux. Et pendant que les lueurs se croisent, les dieux les invitent à une condition glorieuse: devenir un être de lumière et de beauté. Mon écriture est volée d'un autre. J'y potentialise le faux. Et la dévore anthropophagiquement. Entre les bruits et les mélodies emmêlées, il y a des syllabes, des couleurs, des mots et des sons. J'essaie les échos en moimême. Et les déforme dans une conjonction amoureuse. |