Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2020 |
Autor(a) principal: |
Ribas, Vinicius de Lara |
Orientador(a): |
Peres, Paulo Sergio |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Não Informado pela instituição
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Palavras-chave em Inglês: |
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Palavras-chave em Espanhol: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/10183/217772
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Resumo: |
Les analyses du système partisan brésilien actuel ont été dédiés à l’évaluation de ses niveaux d’instabilité et de fragmentation électorales. Dans ces analyses, il y a deux préoccupations centrales : (a) vérifier si le système partisan est ou pas institutionnalisé et (b) si la pulvérisation partisan dans le Parlement est suffisamment élevée qu'elle rend la gouvernance impossible. Cependant, pour la plupart, les études se sont concentrées uniquement sur le niveau national, laissant les spécificités des sous-systèmes partisans brésiliens en arrière-plan, au niveau des états ou au niveau municipal. Telles particularités des indices d’évaluation systémique sont ici appliquées aux variations sous-nationales, observées aux degrés de fragmentation électorale, indiquée par le nombre efficace de partis (NEP), et de compétitivité, indiquée par l’index de volatilité électorale systémique (VE). En principe, on peut supposer que ces indicateurs montrent des variations régionales assez expressives pour qu’il soit possible de détecter la configuration de différents profils à propos de format et de dynamique de leurs sous-systèmes partisans. Face à cela, l’objectif de cette thèse est de répondre à la question suivante : quels profils de sous-systèmes partisans ont émergé dans les états brésiliens de 1982 à 2018 ? Cette question sera répondue à travers une étude descriptive du comportement de ces deux indicateurs de performance systémique, de 1982 à 2018, à partir desquels les sous-systèmes d’états seront classés dans une typologie qui implique quatre strates liées à leurs formats et dynamiques : bas, modéré, haut, et extrême. La classification révèle des sous-systèmes partisans nationaux complexes et diversifiés, avec une tendance historique à une forte fragmentation, en plus de la récente reprise d'une volatilité électorale accrue. |