Delocutividade : uma visão enunciativa do processo de renovação da língua

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2009
Autor(a) principal: Méa, Célia Helena de Pelegrini Della
Orientador(a): Flores, Valdir do Nascimento
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/17660
Resumo: Dans cette thèse, nous nous proposons d'examiner l'énonciation comme une activité du discours promotrice de la rénovation de la langue. Le présupposé a priori dans la composition de notre proposition est le fait que la Théorie d'Énonciation d'Émile Benveniste, permet-elle qui nous contemplons les effets de l'énonciation sur la langue, au-delà des marques énonciative dans l'énoncé, habituellement abordées dans les recherches dans ce domaine. Basées dans tel fondement, nous élisons la notion de délocutivité établie dans et par l'emploi des signes, déjà travestis des mots, en vue de résoudre la problématique: De quelle façon l'énonciation permet-elle produire la langue? L'application du modèle de la délocutivité à l'ensemble de la langue et pas seulement pour les verbes, comme la proposition initiale, permit-elle répondre notre question. Nous nous basons sur la généralisation de cette notion pour décrire les effets de l'énonciation sur la langue de manière qu'elle - la notion délocutivé, fonctionne comme une proposition pour la compréhension et la viabilité de comme ce processus s'opère. Des analyses effectuées, émerge la confirmation de notre hypothèse selon laquelle l'énonciation crée la langue, ou encore, l'énonciation rénove la langue à mesure qu'elle devient la résultante d'activité du discours. Comme réflexe de cette preuve, nous soulignons la nécessité de repenser sur les notions théoriques, entendues au début par le biais de la langue dans le contexte saussurienne, un redimensionnement sur l'enseignement de la langue dans les différentes dimensions et collaborations épistémologique originaires du propre faire scientifique. Notre position sur le processus de rénovation de la langue à travers du discours, n'empêche pas la manière courante ou traditionnelle de concevoir la formation d'une langue, mais elle souligne la nécessité de considérer l'énonciation dans ce processus, car c'est dans et par elle que la langue se constitue et elle se transforme et c'est dans le et par le mouvement de retour à la langue, à travers de la délocutivité que cette activité se réalise et elle se révèle.