O ressentimento como forma : sobre o narrador em Angústia, de Graciliano Ramos

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2015
Autor(a) principal: Gomes, Maurício dos Santos
Orientador(a): Sanseverino, Antônio Marcos Vieira
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/130020
Resumo: Ce travail analyse Angústia, de Graciliano Ramos, à partir de la notion de narrateur ressenti, en cherchant une perspective de lecture pour articuler la forme de composition du roman à la subjectivité de son narrateur et aux contradictions d’une societé organisée sur une “démocratie restreinte” (conforme Florestan Fernandes dans l’A revolução burguesa no Brasil). Pour faire cela, le travail recherche la forme de composition d’Angústia, en remarquant “la memoire excessive” de Luís da Silva, protagoniste et narrateur du roman, par rapport à un groupe limité d’événements et de personnages, entre lesquels on souligne les fiançailles frustrées avec Marina et les humiliations face à Julião Tavares, avec qui Luís se compare systématiquement. Se la rememoration constante de ses propes chagrins nous permettre qualifier Luís comme ressenti, l’étude plus détenu sur le ressentiment, à partir de Friedrich Nietzsche e Max Scheler, souligne cette qualification, au même temps qu’il impose une question historique e sociale. Ainsi, comme une disposition reactive, à partir de laquelle un individu se définit par comparaison comme le contraire de un “autre” désirable mais inaccessible, le ressentiment correspondre aux mouvements subjectives de Luís, en ses constantes comparaisons, définitions et tentatives de auto-convaincrement. D’autre part, comme phénomène normal des démocraties modernes, le ressentiment nous conduit a problematizer le narrateur d’Angústia comme ressenti, à cause de sa insertion dans une societé competitive plein de vestiges d’une ordre sociale organizée sur les groupes de statut, oú les présupposés démocratiques se mélangent à logique des privilèges et des distinctions personneles. À partir de cet contradiction apparente on pose la question: comme se forme et se extériorise, en face d’une “démocratie restreinte”, le ressentiment du narrateur d’Angústia? Pour répondre à cette question, le travail a investigué la particularité du ressentiment de Luís en rapport à ses origines sociaux et la forme spécifique de sa manifestation dans le romam. Cet investigation, nous permettre conclure que, formé dans à partir d’une trajectoire sociale d’integration partiale et instable à la societé competitive, le ressentiment du narrateur d’Angústia se manifeste comme subjectivation de la dynamique d’une “démocratie restreinte”, où la possibilité de comparaison entre les individus, droit démocratique, semble dépendre des distinctions que tournent ses individus comparables, ce qui la transforme en privilège.