A proliferação discursiva de combate à obesidade no neoliberalismo : o governamento biopolítico mediante a educacionalização do social

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2018
Autor(a) principal: Freitas, Débora Duarte
Orientador(a): Veiga-Neto, Alfredo José da
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Palavras-chave em Inglês:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/183136
Resumo: Cette thèse prend comme thème de recherche la prolifération discursive de la lutte contre l'obésité dans la rationalité néolibérale et la manière dont elle établit les manières de nous conduire aujourd'hui. Sur la base d'un point de vue de Foucault, j'utilise les idées suivantes pour soutenir mes recherches: gouvernementalité; le gouvernement; biopolitique et la notion scolarisation du social. Je soutiens que la prolifération discursive sur la lutte contre l'excès de poids inscrit dans une grille d'intelligibilité néo-libérale établie par le scolarisation du social, l'accent étant mis sur governement individuelle, répondant au niveau de la population objectifs biopolitique de la garantie d'un ‘longevitalité’. Pour cela, j'utilise les matériaux d'analyse suivants qui sont divisés en quatre catégories: la première, liée à la catégorie des medias, de 195 memes collectés sur le réseau social Facebook; la seconde, est basée sur 120 lois brésiliennes — légales; le troisième est basé sur 7 politiques internationales et 12 politiques brésiliennes, composant ainsi la sphère politique; et enfin, le domaine scientifique, composé de 17 thèses et dissertations liées à la graisse et/o la minceur. De la lecture et la systématisation des matériaux ont été fait trois chapitres: le premier, j'explore comment le discours de l'excès de poids corporel a assumé un rôle central dans la vie des gens, guider en permanence grâce à des pratiques éducatives et pédagogiques comme des moyens considérés comme appropriés pour vivre la vie. Une telle logique de la pensée n'est possible qu'en transférant le pouvoir souverain au biopouvoir. Je maintiens que cette prolifération discursive de la lutte contre l'obésité a trois points d'appui pour leurs actions, à savoir: l'école, la famille, et en particulier les enfants. L'investissement dans cette triade est fondé sur un processus historique qui visait l'ordre et le progrès de la nation. Dans le deuxième chapitre, je montre quelles connaissances sont mobilisées pour constituer une relation avec la vérité et, par conséquent, pour influencer les modes de vie des individus et de la population dans la contemporanéité. Dans les connaissances épistémologiques, j'ai observé la récurrence des connaissances statistiques, biomédicales et sociales; tous ceux qui possèdent un vrai statut vocal. Ensuite, je présente les autres connaissances présentes dans les discours analysés et qui ne font pas partie des connaissances épistémologiques. De telles connaissances, appelées sujets, constituent également les modes de vie actuels, à savoir: le seuil éthique (dans la relation avec vous), le seuil politique (par rapport aux autres) et esthétique (par rapport au monde). Enfin, il montre la forte présence de la norme corporelle et l'obsession actuelle de la société vis-à-vis de la minceur. J'identifie les processus de résistance au standard corporel, ainsi que les processus de blâme du sujet hors du corps normal. Cependant, je souligne la manifestation de la contre-conduit et de l'exaltation à la différence, ainsi que l'émergence de nouvelles normes qui échappent au discours scientifique. Je termine en montrant comment le corps devient le capital humain lui-même dans la logique néolibérale; en ce sens, le sujet doit être capable de s’autogouverner, en faisant des choix sains pour sa vie, notamment en ce qui concerne la nourriture et les pratiques physiques. Tout cela n’est possible que par la scolarisation du social, car éduquer, c’est gouverner et apprendre, c’est le moyen d’être un entrepreneur prospère.