A representação da mulher na cidade do Rio Grande em dois marcos temporais : um olhar semiótico sobre um jeito de fazer história

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2007
Autor(a) principal: Brisolara, Maria Cristina Freitas
Orientador(a): Krieger, Maria da Graça
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10183/12751
Resumo: Dans ce travail, en plaçant dans le cerne la représentation de la femme , j’entreprends des recherches, dans le discours journalistique imprimé et dans le récit oral individuel. Majoritairement, par le biais d’une lecture sémiotique de conception greimasienne, je vérifie la forme comme est montrée et se montre la femme, dans la ville de Rio Grande – RS, dans un corpus formé par trois recueils de textes. Le premier et le second recueils sont composés de nouvelles du journal Diário do Rio Grande, centrés sur le référent “femme” véhiculés dans l’année 1900. Le troisième recueil est constitué de textes obtenus à partir des récits oraux de quatre femmes ayant plus de quatre-vingts ans, à propos de leurs vies. Apparemment hétérogènes, les objects d’analyse ont dans leur unité la représentation des rôles féminins. L’analyse fait remarquer comment des textes journalistiques d’un périodique représentant de la dite “presse sérieuse” qui circulait dans la ville de Rio Grande à cette époque-là, traite la femme, s’adresse à la femme ou donne place à sa voix; comment les narratives de mémoire oraux obtenues de témoins vivants – des récits de femmes ayant 81, 84, 86 et 91 ans – représentent le féminin compris les événements racontés dans le niveau de concomitance, comme il s’agit de femmes qui ont vécu un espace-temps commun, en articulant leurs histories personnelles avec l’Histoire Officielle. Je recherche, sémiotiquement, en comparant des données, en quelle mesure la condition d’être femme, dans l’espace socio-physique-temporel de la ville de Rio Grande de 1900, montrée par le journal, ressemble à ou diffère du rapport de femmes rio-grandines, nées autour des années 1920, qui se se sont formées en tant que personnes en convivant et en absorbant des influences de femmes qui ont vécu dans le même espace qu’elles, mais, au seuil du vingtième siècle. J’observe comment ces textes se construisent pour rapporter des événements du monde-référence, de telle manière qu’ils deviennent acceptables comme enregistrement du “réel”; comment ils exercent de la persuasion; comment, expressément, le texte journalistique cherche à sédimenter des croyances, à inculquer des valeurs et à déterminer des attitudes, en soutenant le tout dans et par le discours. En partant de l’hypothèse selon laquelle le texte journalistique de la presse considérée “sérieuse” – celle qui s’auto-définit comme honnête, éthique, impartielle, en opposition à l’autre, la presse appelée “sensationaliste”, vue comme ouverte, impactante, vorace – est la source journalistique de plus grande crédibilité utilisée par la recherche historique qui se réalise dans la Fundação Universidade Federal do Rio Grande do Sul (FURG), de la ville de Rio Grande – RS, pour construire l’Histoire de la ville, je recherche, s’il y a, forgés dans la presse “sérieuse” de la ville, dans la limite temporelle de 1900, des signes de comportements transgresseurs. De la même manière, par l’analyse des textes oraux, je vérifie si, en avançant le temps, en parlant d’elles-mêmes, les femmes qui étaient de jeunes filles dans la décénie de 1940, permettent de se laisser voir, par moments, comme des agents d’infraction. Par l’analyse des textes journalistiques comparée à l’analyse des textes oraux, je vérifie la confirmation ou non de ma pressupposition selon laquelle les formes normatisatrices de la conduite féminine de mère dévouée, épouse, et fille, soutenues dans la morale et dans la vertu – le profil de femme que l’Histoire de la ville reproduit – résultent d’une recherche qui se veut neutre, comme elle s’origine d’une source entendue comme la plus impartielle, la moins tendancieuse ; de qui les textes journalistiques de la presse “sérieuse”, en cherchant à dissimuler un discours révélateur, laissent des brèches qui rendent possible de détecter une image de femme moins idéalisée. Avec l’intention de montrer qui la connaissance de la Sémiotique Greimasienne permet d’accéder à un changement de point de vue dans la recherche historique de la FURG, spécialement en ce qui concerne la reconstruction de l’image de la femme de la ville de Rio Grande, quant on discourt sur la représentation féminine dans les textes de la presse et dans les textes oraux qui composent le corpus de ce travail, je fais des réflexions sur des notions de la Sémiotique et de l’Histoire, en ce qui concerne le mythe de la “vérité” et ses implications avec les idées de “fait” et de “réalité” et le mythe de la “totalité”. En plus d’examiner la représentation de la femme dans la ville de Rio Grande, de diffuser des histoires de femmes de cette ville, ainsi que d’amplifier les domaines de connaissance de la Sémiotique Greimasienne dans l’espace académique, mon but à étè aussi de directionner un nouveau regard sur la narrative journalistique et sur la narrative orale produite par des sources vivantes, en suscitant des questions qui font place à une approche entre Sémiotique et Histoire, dans le domaine de la Fundação Universidade Federal do Rio Grande, dans l’objectif d’implémenter de futures recherches qui viendraient consumer le caractère interdisciplinaire de cette proposition.