A figurativização do trabalho nas fábulas de Esopo

• Ano de defesa: 2009
• Autor(a) principal: Quinelato, Eliane [UNESP]
• Tipo de documento: Tese
• Tipo de acesso: Acesso aberto
• Idioma: por
• Instituição de defesa: Universidade Estadual Paulista (Unesp)
• Palavras-chave em Português: Esopo; Fabulas; Trabalho; Semiotica; Fables; Sémiothique
• Link de acesso: http://hdl.handle.net/11449/102412

Cette thèse de doctorat intitulée « La figurativisation du travail dans les fables d´Ésope » propose l´examen, à la lumière de la théorie sémiotique greimasienne, d´un groupe de fables ésopiques qui tématise le travail. Dans les fables, nous observons que peu sont les personnages qui ont conscience de la nécessité du travail pour la survie, car la plupart des textes explicite une vision dysphorique sur ce thème. Le type de travail qui se présente loué par quelques personnages est, surtout, le travail agricole et les autres activités concernant la campagne, mais cette vision n´est pas partagée par tous les acteurs qui composent le même espace narratif. Il nous fait remarquer le fait que la plupart des personnages attribue des valeurs dysphoriques au travail qu´ils realisent par des motifs divers: beaucoup d´eux sont exploités par un oppresseur qui les fait travailler continûment, sans droit à n´importe quel type de loisir ; autres ne reçoivent pas la nourriture, toujours montrée figurativisée comme la récompense par le travail realisé ; il y en a encore ceux qui rivalisent avec les autres personnages car ils disqualifient la profession de l´autre et n´attribuent que des qualités à ses propres activités et se jugent être les seuls qui méritent la récompense. De toute façon, ces acteurs ne sont jamais satisfaits du travail qu´ils exécutent et ils essaient de s´en libérer de n´importe quelle manière, même si ses attitudes subissent un échec. Puisque le thème du travail est constamment presenté dans la littérature grecque, on alliera aux études des mécanismes linguistiques-discursifs, l´étude d´autres textes de la culture qui dialoguent directement avec les fables de notre corpus.