Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2012 |
Autor(a) principal: |
Oliveira, Karina de [UNESP] |
Orientador(a): |
Não Informado pela instituição |
Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Dissertação
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Universidade Estadual Paulista (Unesp)
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Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: |
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Link de acesso: |
http://hdl.handle.net/11449/94003
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Resumo: |
En 1782 paraissaient Les Rêveries du promeneur solitaire, de Jean-Jacques Rousseau – qui aurait alors 70 ans s’il n’était pas mort en 1778. L’oeuvre révélait un modèle de personnage littéraire qui n’était pas tout à fait nouveau, mais qui n’avait jamais jusque-là trouvé sa pleine expression : c’est la figure du promeneur, individu sensible, solitaire et (il vaut bien insister) errant. Dans les deux premiers chapitres de cette étude, on analyse de près ce modèle du promeneur rousseauiste, tout comme le contexte du Romantisme français qui lui a fait suite. Au Troisième Chapitre, on démontre que l’errance du promeneur ne se confond pas avec les parcours décrits dans des oeuvres de littérature de voyage, ni avec d’autres formes voisines d’écriture fondées sur le déplacement, caractérisées généralement, les unes comme les autres, par l’existence de quelque but précis que le héros doit accomplir. En outre, le promeneur semble un personnage assez distinct dans le contexte de la prose romantique française. Cette singularité même lui confère son importance et rend ce sujet digne d’une attention particulière. C’est bien l’objectif de cette recherche : connaître la figure du promeneur dans le Romantisme français, saisir les thèmes et les pensées qu’il mobilise, ainsi que le type d’écriture dont il se sert ; enfin, évaluer le retentissement du promeneur rousseauiste dans cette période. Pour cela, quelques auteurs et ouvrages représentatifs sont appréciés au Quatrième Chapitre, ayant en vue l’établissement de rapports comparatifs entre eux et Les rêveries de Rousseau. On trouve dans ce corpus : René (1802), de Chateaubriand ; les Lettres d’un voyageur (1838), de George Sand et les Promenades et souvenirs... (Résumé complet accès életronique cidessous) |