A raiz no mundo: uma arqueologia do conceito de corpo próprio em Merleau-Ponty
Ano de defesa: | 2013 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Uberlândia
BR Programa de Pós-graduação em Filosofia Ciências Humanas UFU |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | https://repositorio.ufu.br/handle/123456789/15568 https://doi.org/10.14393/ufu.di.2013.185 |
Resumo: | Une genèse de la notion de corps chez Merleau-Ponty (1906-1961) n'a pas pu être conçu différemment d'une archéologie. L'archéologie est une tâche concrète qui suppose la volonté de mettre vos mains dans le cambouis, la masse terrestre, des pierres et de la boue à la recherche d'un artefact, un résidu qui peut présenter des preuves et de prouver la position théorique d'un mouvement historique particulier de une civilisation donnée, d'un mouvement donné dans la vie des hommes. Le «artefact» qui ne cherche pas à trouver la genèse nous est inconnu, mais a toujours fait (étrangement) ce depuis notre conception: le corps. En analysant la structure et la genèse de la notion de corps chez Merleau-Ponty, dans ses premières oeuvres ( Projet de travail sur la nature de la perception, 1933, The Nature of Perception, 1934 et La Structure du comportement, 1942) face à une nouvelle possibilité pour la compréhension de notre corporéité. A partir d'une conception de l'organisme humain dans son ensemble, Merleau-Ponty prend le corps lui-même comme un lieu privilégié de béton et radicale l'expérience perceptive. L'influence décisive de Aron Gurwitch, du moins en ce qui concerne la présentation de Kurt Goldstein, apparaît comme motivation fondamentale qui fait le philosophe français prend comme point de départ une couche sur l'original du vivant, souvent mal conçu par les philosophes: l'organisme. Le monde apparaît comme un horizon pas totalement étrangère à une auto qui ressemble de loin, mais plutôt comme un système qui ouvre la perspective d'être ma relation corps-à-monde. En cours de route, nous analysons les conditions pour le développement du concept de corps propre, démêler l'influence et la forme de la démarche de Merleau-Ponty dans différents auteurs comme Henri Wallon, Constantin von Monakow, Paul Guillaume et Jakob von Uexküll. Le corps lui-même apparaît, seulement dans les premières oeuvres de l'auteur français comme un acte intentionnel sur un corps-sujet qui a sur la perception et le motricité insurmontables un lien avec un monde qui lui est propre. |