Nem tão prósperos quanto calibanescos: paradigmas de identidade para a América Latina a partir de A Tempestade de Shakespeare
Ano de defesa: | 2009 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Santa Maria
BR Direito UFSM Programa de Pós-Graduação em Integração Latino-Americana |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://repositorio.ufsm.br/handle/1/9711 |
Resumo: | L objectif de ce travail esta réfléchir sur la pièce La tempête, de Willian Shakespeare, en analisant son rapport avec le concept de modernité et ses discours eurocentriques, ainsi que son rapport aves les paradigmes d identité apparus à l Amérique latine pendant la seconde moitié du siècle XIX. La relatio qu on a choisi est celle surgie parmi Caliban, Próspero et Ariel et, surtout, les lectures qu on a fait basées sur ces allégories. Caliban était un hybride de l homme et du monstre, le moule hideux qui représentait la barbarie contenue dans tout l imaginaire européen medieval. Próspero était le vieux savant européen, doué de capacités que Caliban n avait jamais imaginé, et cette culture supérieure lui a donné naturellement le contrôle de l île. Ariel, átait, à l exemple de Caliban, esclave de Próspero, maisl il a été soumis à un autre type de esclavage puis que sa fonction était plus intelectuelle que celle de Caliban, la main-d oeuvredu mage et sa fille. Pour autant, on a analysé trois des plus importants paradigmes d identité et des projets de modernisation latino-américains, ceux qui ont été, de quelque manière, influencés par le texte shakespearien. On utilise les textes de Domingo Faustino Sarmiento et son oeuvre Facundo , de 1845, José Martí et son essai Nuestra América, de 1891, et José Enrique Rodó en Ariel, de 1900. Dans Facundo,, Sarmiento présente une analyse des maux de l Argentine et du pouvoir des caudilhos, ses vastes champs et sa réduite population métisse. Son projet d identité est lié, en ce travail, au personnage Próspero et est basé sur la migration de l excedent de la population européenne que, à travers le métissagem, résulterait au blanchiment du peuple de la pampa argentine. Dans Ariel, Rodó propose une critique au positivisme en viguer, à la pensée identitaire d Alberdi et à la « Nord-manie » que se dissémine par le continent, et il a comme paradigme d identité l éducation en faveur de l évolution de l esprit et de la latinité, comme un moyen d arrêter l utiritarisme étasunien. Dans Nuestra América, Martí donne l alerte sur l expansionnisme étasunien. En contrariant les prémisses identitaires de la « Generación de 37 » - surtout Sarmiento il propose un paradigme por le continent à travers la valorisation de l autochtone, de la culture et du passé existent chez les societés métisses. En ce contexte, l Amérique (latine et anglo-saxonne) apparaît comme de la fondaction de l idée de modernité et n apparaît plus comme un outil de leur développement, aussi comme la première identité moderne par rapport au monde moderne européen colonial. Dans cette relation identitaire, les conceptes de civilisation/modernisation et barbarie/retard sont des arguments fondamentaux aux discours intellectuels qui ont chez les signes de couleur et race sa principale identité modernisatrice. |