Os corpos enrugados e meus “outros” espelhos etários
Ano de defesa: | 2008 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Tese |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal da Paraíba
Brasil Sociologia Programa de Pós-Graduação em Sociologia UFPB |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | https://repositorio.ufpb.br/jspui/handle/tede/7498 |
Resumo: | Les récits délinquants autobiographiques et biographiques représentent, pour mon corps de fille/petite-fille très aimeé et soignée par un corps ridé qui a toujours inspire de la confiance, de la loyauté, du courage et de la nutrition affective, um geste d’amour et grande gratitude à ma grand-maman Donzinha, mon grand appui existentiel. Un regret mouvent et affirmateur de ma qualité d’ancestral m’a conduit à la forêt de mes subjectivités d’enfant, de jeune et d’adulte en fortifiant mon individualité et mes relations entre les générations dans le présent. Raconter des histoires e’est une forme de sauver nos corps disseques par le paradigme de la fonctionnnalité, mon désir d’âme est nourri par le contact avec des histoires de vie de personnes qui battent et reinventent avec beaucoup d’artifices son quotidien. Selon souligne le sensible historicien CERTEAU (1994). Ma plus grande indignation comme petite-fille et professionnelle de Sciences Humaines c’est l’état d’invisibilité des persones âgées dans le décor contemporain. Comment se fait qu’une experience et un corps tellement importants sont impraticables par notre culture? Les corps rides emergent dans le décor actuel comme des grands protagonists dans la vie publique et privée et en meme temps sont les disparus de la ville. Je parle dans mon travail de la ville de Campina Grande et de João Pessoa en mettant au point les corps rides ou pás. Ils sont ridés parce qu’ils sont vieux, pauvres et habitent dans lês territoires consideres des cartographies du mal. Comme chercheur de frontiére entre les corps idéalisés et ceux illisibles, entre lês quartiers du bien et les quartiers du mal, je suis allée à la recontre d’enfants, de jeunes, d’adultes et d’âgés pauvres dans les communautés et dans deux écoles publiques où ils étudiaient. Mon parcours métodologique était: la recherche-action et interviews directifs dans les écoles et l’histoire orale chez les grands-parents qui s’occupent des petits-enfants. La recherche dans les écoles publuques renforcent ma perception que cet organisme se presente comme dévoreur de tous les corps et sens qui batent différemment de leurs croyances homogéneisées. Dans l’essai de dénoncer l’invisibilité des corps ridés, j’ai été tellement refusée comme les corps étranges, j’ai été apperçuepar les éducateurs comme une présence menaçante aux masques scolaires. J’ai constante que parmi le milieu chaotique des élèves (enfants et jeunes), la rigidité, l’impuissance et même le désespoir des éducateurs scolaires, Il y avait de la vie dans ce quotidien meurtrier, e’est-à-dire, la présence des corps adultes et âgés et leur enchantement par l’école. Différement de ce qui défend l’éducation majeur, les corps scolarisés aujourd’hui ne sont ni enfants ni jeunes, mais adultes et âgés. Comme ce qui donne sens à ce territoire public ce sont les corps adultes et âgés; dans le territoire domestique des quartiers où j’ai méné la recherche, qui donne sens et fonctionnalité aux configurations familiales pauvres dans la majorité, ce sont les corps ridés. Lá, la direction de la famile et le soin familial sont des attibutions presque du domaine féminin et géront. Dans ce décor-lá, les péres symboliques et les mères soigneuses sont remplacés par des grands-mamans et arrières-grands-mères. Ainsi, le mythe de I’avoternagem réinvente les enfants, en les enfants, em les empêchant de disparaître. |