Tripartição e unidade da psykhé no Timeu e nas Leis de Platão
Ano de defesa: | 2007 |
---|---|
Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Tese |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de Minas Gerais
UFMG |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
|
Departamento: |
Não Informado pela instituição
|
País: |
Não Informado pela instituição
|
Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://hdl.handle.net/1843/ARBZ-7FZKLE |
Resumo: | La thèse soutient que la théorie platonicienne de la tripartition de la psykhé, postulée em République IV, est maintenue dans le Timée et dans les Lois, étant la base de la théorie éthique et politique de ces dialogues. Les trois genres de l´âme doivent être reconnus comme de principies d´action et, d´une façon générale, la formaton droite de ces genres doit être comprise comme étant la source de la vertu dans l´âme et dans la cité. Par contre, as mauvaise éducation est la cause de l´etat interne d´injustice et source potentielle du mal moral. Finalement, on envisage les rapports des trois genres de l´âme entre eux, de la psykhé humaine avec la psykhé cosmique, avec le corps humain et l´agir éthique et politique. Quant au Timée, on soutient les positions suivantes: que la psykhé cosmique est une troiséme espèce d´ousia, qui´l y a une distinction entre la logistikon et le principe immortel de l´âme humaine, qu´on doit recconaître l´unité triadique du composé et que son éducation est une thérapie. Quant aux Lois, on soutient les position suivantes: que la tripartition de l´âme est toujours sous-jacente à la proposition de trois causes de nos fautes, à la redéfinition de l´injustice dans l´âm, à la classification et aux traitements des crimes, aux prologues et aux pénalités des lois, à la compréhension du caractère et de la façon d´agir de l´homme méchant. On soutient, encore, qu´il y a um changement dans l´affirmation du paradigme socratique, dû à la reconnaissance du mal consenti, que la vertu, le vice, le vouloir (boúlesis) et la liberté sont des états internes d´une psykhé triadique et on retrouve la source du mal moral dans les relations (éducation et interaction) des hommes entre eux. Finalement, on comprend les rapports des médiations triadiques comme étant constitutifs de la realité dans la philosophie de Platon, en génerale. |