A educação feminina na Comarca do Rio das Velhas (1750/1800): a constituição de um padrão ideal de ser mulher e sua inserção na sociedade colonial mineira

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2008
Autor(a) principal: Claudia Fernanda de Oliveira
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de Minas Gerais
UFMG
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/1843/FAEC-83VMJS
Resumo: Avec cette étude on a eu le but de réflechir sur les pratiques éducativesdestinées à des femmes à la Comarca do Rio das Velhas (Capitania de Minas Gerais) dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Le propos est de comprendre lapprentissage des métiers destinés aux femmes ainsi que linsertion de cellesci dans la societé mineira coloniale par le biais dun savoir-faire. Cette éducation était constituée par lacquisition des métiers les plus variés, tel que la couture, la broderie et les techniques pour tisser des filets. On a analysé les situations où cette éducation était offerte à des orphelines pendant lexercice de la tutelle à travers lanalyse des inventaires et des testaments de la période. Les femmes, en géneral, dès quelles étaient des orphelines, on les soummettait au processsus de la tutelle où elles étaient orientées vers une éducation quelconque, ce qui, daprès nos documents, leur mettait habituellement à lapprentissage de la couture; mêmes celles issues de familles aisées. Ces métiers étaient enseignés à des orphelines au foyerdomestique par des femmes de leur famille ou chez les maîtresses de couture et de broderie. Cet apprentissage avait deux buts, a savoir: donner aux femmes un savoir-faire destiné à leur préparation pour le mariage et offrir une formation professionnelle, une fois que beaucoup dentre elles pratiquaient ces métiers pour assurer leurs moyens dexistence, ce qui pouvait aussi aider la famille.