“Mensageiras da desordem”: um estudo sobre mulheres e crimes na São Luís republicana (1890-1940)

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2014
Autor(a) principal: SOUSA, Alexander Miller Câmara lattes
Orientador(a): CAMPOS, Marize Helena de lattes
Banca de defesa: CAMPOS, Marize Helena de lattes, ABRANTES, Elizabeth Sousa lattes, MOTA, Antonia da Silva lattes
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal do Maranhão
Programa de Pós-Graduação: PROGRAMA DE PÓS-GRADUAÇÃO EM HISTÓRIA/CCH
Departamento: DEPARTAMENTO DE HISTÓRIA/CCH
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: https://tedebc.ufma.br/jspui/handle/tede/3728
Resumo: Étude sur la criminalité féminine à São Luís, au début de la République, de 1890 à 1940, sur la base de documents judiciaires et policières. Au début du XXe siècle, avec l'avènement de la République, de nouveaux modèles de comportement ont été créés, principalement liés à la civilité et l'hygiène des couches sociales les plus pauvres, et en particulier des femmes. Les principaux codes en vigueur en ce pèriode on été ratifier ces idéales, au-dèla de légaliser et de justifier la condition des femmes comme soumis et inférieures aux hommes. Les principales théories en vigueur à l'époque, tels que le Positivisme, l'Anthropologie criminelle, Hygiénisme et le discours sur la virginité, l'honnêteté, la moralité et le rôle de la maternité pour la formation du pays, étaient également assez répandue, et ont essayé d'établir des modèles féminins idéales à suivre. À São Luís, la ville où les conditions physiques pour les couches populaires étaient prècaries, nous voyons la prolifération de l'habitat et de ruches et ainsi que des mesures prescriptives de contrôle sur les corps, de sorte que nous sommes la criminalité féminine comme une rupture, ainsi comme un moyen taquine et de transgression à valeurs et des modèles socialement idéalisées de la soumission et la passivité.