Sombras silenciosas: estranheza e solidão em Lygia Fagundes Telles e Edward Hopper

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2010
Autor(a) principal: Pedra, Mabel Knust
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Programa de Pós-graduação em Letras
letras
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: https://app.uff.br/riuff/handle/1/19270
Resumo: Lecture des thèmes de la solitude et de l étrangeté dans trois romans et quatre contes de Lygia Fagundes Telles en dialogue avec onze toiles d Edward Hopper. L étude des rapports entre deux matières signiques a révélé la possibilité de l établissement d une comparaison entre les deux poétiques selon la perspective d une intersection sémantique, tout en mettant l accent sur l investigation des paradigmes thématiques. Selon leurs langages particuliers, l écrivain et le peintre dialoguent sur l homme, être au monde. Dans les toiles de Hopper et dans les récits de Lygia les fils thématiques communs retracent une même conception de la condition de l existence de l homme, donnant à voir l interelation entre ces deux formes expressives, qui, si réalisée à travers des moyens particuliers à chacun des arts, ne laisse pas de communiquer un sentiment évoqué à partir de la même vision du thème qui leur est commun: l absurdité de la condition humaine. En partant de la pensée d Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, on analyse la critique de la représentation du dilemme de l homme confronté au monde vidé de sens. Le dialogue entre la fiction intimiste-existentielle de Lygia et la peinture de Hopper, comprise en tant que récit, se construit à partir des romans Ciranda de Pedra, Verão no aquário et As Meninas lus comme une trilogie de Bildungsromane et des contes Você não acha que esfriou?, Senhor diretor, A Medalha et Eu era mudo e só.