O medium da transcendência : linguagem, tempo e desejo em Merleau-Ponty

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2015
Autor(a) principal: Camargo, Jeovane
Orientador(a): Pinto, Débora Cristina Morato lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de São Carlos
Câmpus São Carlos
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Filosofia - PPGFil
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: https://repositorio.ufscar.br/handle/20.500.14289/7925
Resumo: Le texte présentement écrit cherche, d'un côté, à faire surface au critère ontologique au fond de chaque description entreprendre par Merleau-Ponty. Dans ce sens, la temporalité révèle la racine autant des descriptions du corps et de la perception que du langage. En approfondissant l'analyse de la structure temporelle et en même temps en nourrissant de quelques commentaires de Moura, on se demande sur ce qu'incite le temps à être toujours une “puissance de passer outre” de chaque moment présent, sur ce que fait le temps un mouvement de perpétue s'écouler. Tel investigation se tourne vers les considérations sur le désir, en rapprochant, ainsi de la thèse de Saint-Aubert et des commentaires de Ramos. D'autre côté, il cherche de montrer des ajustes conceptuels que Merleau-Ponty a entrepris en visant le dépassement de certes préjugés de la première période de sa pensée. Dans cette perspective, il faut souligner que l'auteur se détache de la base phénoménologique du « a priori de la corrélation » et développe une ontologie qui contemple aussi la Nature. Par cela, le critère ontologique de la première hase de sa pensée (la temporalité) soufre quelques transformations. L'apport théorique offert par la linguistique de Saussure permet à Merleau-Ponty s'arrêter de concevoir les instants temporelles comme des positivités (le Cogito tacite), en y montrant enfin comme des différentiations (des différences sans termes).