A leitura da literatura escolarizada nos exames do baccalauréat e do ENEM

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2016
Autor(a) principal: Duran, Guilherme Rocha
Orientador(a): Moura, Maria Isabel de lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal de São Carlos
Câmpus São Carlos
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Linguística - PPGL
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: https://repositorio.ufscar.br/handle/ufscar/8868
Resumo: Cette recherche a été partiellement financée par Capes, via une bourse de stage doctoral à l’étranger (doutorado Sanduíche/PDSE – Programa de Doutorado Sanduíche no Exterior), qui a eu lieu en France dans l’année scolaire de 2015/2016. Notre thèse s’appuie sur la théorie du Cercle de Bakhtine pour investiguer la lecture surtout de la littérature scolarisée dans le contexte des évaluations nationales brésilienne, l’Enem et française, le baccalauréat. La base méthodologique utilisée correspond au cortège des deux évaluations. En nous mettant à l’écoute des voix qui donnent du contexte et de la substance pour les signes idéologiques ici investigués, nous nous sommes mis en relation avec plusieurs aspects historiques et sociaux qui entourent les mots clé de la recherche : lecture, Enem et baccalauréat. A propos desquels nous avons organisé notre parcours d’investigation exposé dans le travail. Nous conduisons des réflexions, à partir de la conception bakhtinienne, des principales caractéristiques du signe idéologique en déterminant comme des signes la lecture et les examens étudiés dans la thèse. Le travail part d’une analyse marxiste qui met en scène les luttes de classes dans les signes idéologiques. Pour cette raison, nous présentons des études historiques et sociologiques sur les examens. En outre, nous soutenons la notion d’héritage du signe. En tenant compte que les signes analysés reçoivent une charge de sens d’autres signes qui les précèdent, lecture, Enem et baccalauréat transmettent aussi des valeurs qui ont été étudiés lors des investigations étymologiques et historiques. En considérant les examens et la lecture dans cette perspective, nous nous mettons à comprendre la façon dont les pratiques sociales s’organisent à partir de ces axes en nous appuyant sur la linguistique énonciative et des genres du discours. Nous confirmons qu’il s’agit de deux examens, c’est-à-dire, d’un seul genre, mais qui se manifestent différemment entre eux. Ces différences ont été expliqués à partir de la proposition de la lecture en tant qu’un acte énonciatif et directement en relation avec le contexte d’où ils émergent. Dans ce cadre, nous avons fait une analyse qui cherche à comprendre la prise en charge de la littérature en tant qu’objet de lecture dans ces examens. De cette manière, nous avons précisé en chiffres et graphiques les profils d’utilisation de la littérature dans les questions des examens. A l’aide de nos résultats, nous pouvons contribuer aux discussions qui s’intéressent aux mêmes objets que le nôtre, mais dans une perspective en dialogue avec la philosophie du langage. Nous pouvons aussi conclure que la valeur de la lecture en tant que pratique sociale est ample et assez forte pour déterminer la place du sujet dans l’histoire, pour être utilisé comme stratégie de contrôle de classes et pour déterminer ceux qui ont ou qui n’ont pas le droit d’achever les études en niveau secondaire et continuer des études en niveau supérieur.