Das categorizações aos valores referenciais: a (in)definição linguística em construção
Ano de defesa: | 2021 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Tese |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Universidade Federal de São Carlos
Câmpus São Carlos |
Programa de Pós-Graduação: |
Programa de Pós-Graduação em Linguística - PPGL
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Área do conhecimento CNPq: | |
Link de acesso: | https://repositorio.ufscar.br/handle/20.500.14289/14722 |
Resumo: | Dans cette thèse, nous avons développé une étude sur la notion d’« indéfinition » vu sur l’approche de la Théorie des Opérations Prédicatives et Énonciatives (TOPE), un cadre théorique sur lequel nous nous appuyons. Cette perspective est confrontée à des approches grammaticales qui prédominent dans l’enseignement qui, dénouant la grammaire du texte, attribuent à la notion d’indéfinition aux classes de mot, telles que l’article indéfini et les pronoms indéfinis. Nous avons décidé d’étudier ce sujet à cause de, d’un côté, notre insatisfaction en tant qu’enseignant dans un cours de lettres par rapport aux approches grammaticales prescriptives et descriptives qui prévalent dans l’enseignement de langue, puisque ces approches sont incongrues quand nous visons le développement de la compétence discursive des élèves, objectif principale de l'enseignement selon les propositions des programmes officiels. D’autre côté, le contact avec la TOPE nous a fait voir la problématique autour des conceptions grammaticales prescriptives et descriptives, quand on considère le processus d’énonciation linguistique. La TOPE met l’accent sur l’articulation lexico-grammatical, ce qui signifie que les traditionnels champs linguistiques fono-morpho-syntaxique-sémantique-énonciatif sont reconnus en articulation. De cette façon, nous nous questionnons sur la notion d’indéfinition appliquée aux classes de l’article et du pronom indéfini. Pour analyser ces classes dans l’énonciation, et ainsi composer notre corpus, nous considérons les occurrences de ces marqueurs, des articles indéfinis et des pronoms indéfinis, dans des contes fantastiques. Ainsi, nous cherchons à analyser de telles occurrences dans l’énonciation en articulant la grammaire au texte. Le choix du genre conte fantastique se justifie au fur et à mesure qu’il se présente comme un contenu d’enseignement du 6e au 9e année du primaire II, notre cadre d’observation, en analysant la grammaire dans la proposition de la TOPE. Dans une première observation, ces marqueurs étaient très présents dans ces contextes, ce qui nous indiquait un possible rôle léxico-grammatical-énonciatif de ces notions à étudier, car dans la TOPE les valeurs référentielles de ces marques de (in)définition sont des opérations des rôles énonciatifs et discursifs dans les constructions des textes. Le pronom indéfini a le même rôle qu’il n’aurait pas besoin d’être dans une classe différente, son rôle référentiel est le même que celui des articles, au niveau morphologique, c’est-à-dire, qu’ils sont des marqueurs de la même nature à la frontière entre définition/indéfinition. Nous concluons que ce sont des mouvements lexico-grammaticaux qui sont dans toutes les classes grammaticales, en vrai ce sont des notions créées dans le texte. |