Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: |
2018 |
Autor(a) principal: |
Scapini, Marco Antonio de Abreu
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Orientador(a): |
Souza, Ricardo Timm de
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Banca de defesa: |
Não Informado pela instituição |
Tipo de documento: |
Tese
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Tipo de acesso: |
Acesso aberto |
Idioma: |
por |
Instituição de defesa: |
Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
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Programa de Pós-Graduação: |
Programa de Pós-Graduação em Filosofia
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Departamento: |
Escola de Humanidades
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País: |
Brasil
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Palavras-chave em Português: |
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Área do conhecimento CNPq: |
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Link de acesso: |
http://tede2.pucrs.br/tede2/handle/tede/8109
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Resumo: |
Ce travail vise à présenter une analyse critique de ce qui est conçu comme une démocratie dans le temps présent. En fait, en suivant les traces de la pensée et de l’oeuvre du philosophe français-algérien Jacques Derrida,nous cherchons des outils théoriques et critiques pour ce qui est présenté là comme un concept politique, en particulier dans ce qui est identifié comme une démocratie. Ainsi, dès l'héritage philosophique de Derrida, nous voulons offrir une déconstruction du politicien à ce que le philosophe appelle la démocratie à venir. Ils’agit,donc, moins d'une conceptualisation ou une définition de ce que la démocratie peut vouloir dire et plus dece que nous pouvons comprendre chez Derrida comme un impératif catégorique, c’est-à-dire à savoir tout faire pour que l’avenir reste ouvert. Il est celui-ci, alors, le sens de ce texte et pour lequel toutes les analyses sont dirigées, autrement dit, tout faire pour que, grâce à ce que nous appelons la déconstruction, l’avenir soit encore à la portée d'un désir, même si impossible, ainsi que la folie par la justice qui va de bout en bout à la déconstruction. Ainsi, nous avons construit un parcours qui compte présenter la déconstruction comme une philosophie de la marge ou à la marge de la philosophie, pour faire face, alors, aux questions concernant la justice comme noyau de la déconstruction, ainsi que la violence exprimée dans les formes multiples au jour le jour, en particulier la violence qui cherche à éliminer l'autre. Enfin, dans la phase finale du travau, proposer ce qui désigne cette thèse, c’est-à-dire la déconstruction de la peur comme la possibilité d'une démocratie à venir, à la recherche du mot démocratie même la force d'une promesse qui peut nous donner de l'espoir que cela n'a pasencore été réalisé. Quoi qu'il en soit, notre itinéraire est entraîné par ce qui manque à la démocratie et par une responsabilité hyperbolique implacable qui fonde tout le travail qui nous dirige vers le fait que nous avons encore à apprendre à vivre sans peur. |