Vida e religiosidade nos mosteiros de clausura feminina no estado do Rio Grande do Sul : um estudo sociológico e comparativo entre Beneditinas, Carmelitas e Clarissas

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2019
Autor(a) principal: Silva, Eliane lattes
Orientador(a): Jungblut, Airton Luiz lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Ciências Sociais
Departamento: Escola de Humanidades
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://tede2.pucrs.br/tede2/handle/tede/8702
Resumo: L'objectif de cette recherche est d'étudier la clôture religieuse féminine dans trois monastères, un de bénédictins, un de carmélites et un de clarisses. L'une des principales préoccupations qui a conduit au thème était le fait que, même aujourd'hui, ces femmes optent pour un mode de vie en contradiction radicale avec une société en quête de changements, y compris de nouveaux styles de famille, sans renoncer à leur liberté, la participation aux réseaux sociaux et la lutte pour l'égalité entre hommes et femmes. La question qui nous a bouleversée était la suivante: dans quelle mesure ces femmes, en choisissant leur vie cloîtrée, parviennent-elles réellement à maintenir leurs objectifs et dans quelle mesure les murs des monastères peuvent-ils isoler toute cette influence et ce mouvement du monde extérieur. Il s’agit donc d’étudier, d’un point de vue sociologique, à partir de ces trois maisons la possibilité de niveaux de flexibilité entre l’intérieur des murs et le monde de la société extérieure, puisqu’elles se disent les plus heureuses et les plus libres. pour vivre en fermeture. À cette fin, nous avons procédé à des sauvetages historiques liés à la fois aux femmes, à la façon dont elles étaient perçues et contrôlées par les hommes de la famille et aux maris, et aux relations établies de bonne heure avec ces maisons religieuses qui étaient désormais considérées comme des emprisonnements de refuge pour les hommes et l'exercice de l'intellectualité. Nous recherchons également les origines des monastères interrogés, leurs règles et leurs constitutions, qui, même si elles remontent au Moyen Âge, sont toujours présentes et constituent des clés de lecture importantes pour mieux comprendre ces organisations et ces femmes. Sur la base d'entretiens et d'un questionnaire auxquels les sœurs ont répondu, nous avons cherché à expliquer et à développer notre regard sur la manière dont cette routine se déroule dans les monastères et qui implique des voeux publics d'obéissance, de chasteté et de pauvreté. Il est important de souligner que la possibilité et l'expérience de rester quelques jours dans l'un des monastères ont également contribué à cette information et à la recherche dans son ensemble. En fin de compte, il était possible de percevoir qu'il existait des différences entre les trois formes de cloître, mais que chacune pouvait, à sa manière, exercer un style de vie social dans l'espace public où elles sont insérées et où des influences externes parviennent parfois à surmonter le les barrières des murs, visibles ou invisibles, obligent les sœurs à se débattre et à se réadapter, tout en maintenant leur mode.