Estados do pensamento : o conceito de pessimismo a partir da natureza do pensamento único de Arthur Schopenhauer

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2020
Autor(a) principal: Schaefer, Leonardo Ritter lattes
Orientador(a): Souza, Ricardo Timm de lattes
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
Programa de Pós-Graduação: Programa de Pós-Graduação em Filosofia
Departamento: Escola de Humanidades
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://tede2.pucrs.br/tede2/handle/tede/9426
Resumo: Dédiée à la vérité, la pensée unique déclare l'absence de liberté, l'existence humaine déterminée à la souffrance et le jugement moral essentiellement relatif, à la fois, juge l'optimisme faux et pernicieux tout en affirmant que tous sont débiteurs de tolérance, de patience, de considération et d'amour au prochain. Partant du postulat que l'œuvre naît de la communion entre les études de médecine et, plus tard, la philosophie d'Arthur Schopenhauer, la présente thèse entrelace et juxtapose les quatre perspectives qui semblent fragmenter la pensée pour préserver la cohésion organique, en passant par des préfaces, des essais, compléments et aphorismes, détermine une base fondamentale dérivée de la métaphysique et de la physiologie en obtenant deux états, l'un apte et l'autre inapte aux soins, non volontaire et volontaire. A travers eux, la contradiction apparente établie dans le rapport entre l’oeuvre, la vérité et critique à l'optimisme se dissout, d'une part, dans la recherche de l'auteur pour communiquer l'occasion d'un état, d'autre part, dans la production de deux conceptions propres, l'optimisme comme disposition organique et le pessimisme. comme connaissance de soi de la disposition un pas au-delà des théories morales e des limite philosophiques se trouve dans les aphorismes pour répondre à l'imputation morale. Dans la connaissance de leurs propres déterminations fondamentales proportionnées par le pessimisme, les organismes humains se confient à eux-mêmes, se dirigeant eux-mêmes à travers les chemins qui provoquent l'état non volitif ainsi dans la rélation entre l'auteur à son œuvre, l'écriture s'assume est supposée être un acte éthique, et la responsabilité et la détermination se concilient.