Violência e processo civilizatório: excesso, limite, mal-estar
Ano de defesa: | 2007 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
Porto Alegre |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://hdl.handle.net/10923/1810 |
Resumo: | Ce travail entreprend d’interpréter le malaise dans le processus civilisateur et son action sous forme de violence dans l’actualité. Il indique que la composante fondamentale de la Modernité est le mouvement, la circulation. Il montre l’inscription de la Modernité comme une nouvelle organisation psychique qui introduit une autre subjectivité ne se définissant pas par le monde où elle se trouve, mais par ce qu’elle trouve dans le monde, par ce qu’elle fait, par ce qu’elle transforme. Il constate qu’une telle inscription subjective s’accomplit, irrémédiablement, sous le signe de la violence: que ce soit la violence fondatrice ou la violence de l’ordre de la jouissance, de l’abus, de l’anéantissement de l’autre, de la cruauté. Il fait ressortir que cette double charge de la violence entraîne l’existence d’un excès qui finit par se manifester dans tous les domaines. Il révèle l’impossibilité de contenir cette force. Il signale, cependant, la possibilité d’en faire une gestion éthique et nous invite à insister sur la valeur du désir en tant que moyen de ne pas succomber à la barbarie. fre |