Para além da essência: racionalidade ética e subjetividade no pensamento de Emmanuel Levinas

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2006
Autor(a) principal: Farias, André Brayner de
Orientador(a): Souza, Ricardo Timm de
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
Porto Alegre
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Palavras-chave em Português:
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10923/3521
Resumo: Le travail recherche la possibilité de rencontrer dans le thème de la subjectivité une nouvelle façon de concevoir la racionalité, l’éthique. Totalité et infini (1961) et Autrement qu’être (1974), les deux chefs-d’oeuvre de la pensée levinasienne, sont les bases de développement du travail – deuxième et troisième parties. Dans la deuxième partie, dédié à l’oeuvre de 1961, on essaye d’entendre le problème du langage que le projet de l’éthique comme philosophie prémière apporte comme conséquénce, quand soutient le privilège de l’éthique sans l’approfondissement critique nécessaire du langage ontologique, que la thèse exige, au même temps qu’elle n’arrive pas à se libérer d’un logos référé à l’être. On a parcouru les grandes thèmes de cet oeuvre: l’idée de l’infini, la transcendance, le visage, le désir métaphysique, le langage comme discours, le temps comme altérité. La troisième partie, où on arrive au noyau du travail, on l’a dédié à l’étude d’Autrement qu’être ou au-delà de l’essence à partir des ses deux plus importantes thèmes: le langage comme dire et la subjectivité comme substituition. Autrement qu’être représente la grande maturité de la pensée de Levinas en ce qui concerne la critique du langage ontologique qui, dans l’histoire de la pensée occidendale, devient le langage philosophique proprement dit et, par conséquénce, on s’est habitué à penser au problème de l’être comme le problème philosophique proprement dit. On arrive, donc, à la thèse: la conception de subjectivité, la substituition, qui constitue le coeur de la philosophie levinasienne, à cause d’un langage qui suspend l’essence du dit au révéler la responsabilité éthique comme la verbalité pure du dire dans l’accentuation de l’adverbe – autrement qu’être – décrit une nouvelle conception de racionalité qu’on appele éthique. La racionalité éthique signifie une nouvelle possibilité de lire la philosophie en essayant d’écuter l’ordre pré-originaire de la responsabilité humaine que l’interrogation par l’être présuppose mais n’arrive pas à dire.