A criminologia natimorta: um ensaio sobre a linguagem do subsolo e sua é(sté)tica : os outros : projetos MC’s para paz e artinclusão
Ano de defesa: | 2014 |
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Autor(a) principal: | |
Orientador(a): | |
Banca de defesa: | |
Tipo de documento: | Dissertação |
Tipo de acesso: | Acesso aberto |
Idioma: | por |
Instituição de defesa: |
Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
Porto Alegre |
Programa de Pós-Graduação: |
Não Informado pela instituição
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Departamento: |
Não Informado pela instituição
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País: |
Não Informado pela instituição
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Palavras-chave em Português: | |
Link de acesso: | http://hdl.handle.net/10923/7252 |
Resumo: | Il s’agit d’une approche depuis la naissance morte. Un regard à travers le cadavre de la Criminologie et les bruits que les os sont encore en mesure de promouvoir en traversant le langage entièrement autre. La possibilité de dire le non-dit, l’incessante recherche du mot, l’expérience qui nous traverse et continue à développer un dire sans dire, dans la temporalité. D'un bref récit de la rencontre avec Les Autres hommes du sous-sol – Odradek’s, des projets MC’s Para Paz (Multiplicateurs de Citoyenneté Pour la Paix) et Anticlusão (L’Art-inclusion). La rencontre E(sthé)tique, de ce fait la relation dialectique entre la Philosophie et l’Art, la Philosophie et la Littérature, d’une pensée philosophique critique, qui sera subtilement présente. Essai qui essaie de dire avant, à propos du témoignage d’un langage qui porte sur ellemême la responsabilité, l'engagement éthique dès le début, comme un soupir de l'environnement créé historiquement pour conduire à l'anéantissement de la différence; Il est «l’exercice» d’écrire un texte qui devient l’essaie, accompagnés par Adorno, et par le récit, l'étonnement de Benjamin, comme une expérience du langage même de ce sous-sol sans le subsumer à la voix d'un mort grotesque qui ne pouvait rien dire, sauf son cri muet. Nous traitons avec l’oeil critique autour de la criminologie et de la violence d'un autre endroit, d’une vie que, malgré la peine de mort depuis la naissance, elle résiste à survivre dans les entrailles de villages opaques jusqu’à ce qu’elle puisse faire éclater la vie aux bords d’une marge qui va au-delà de l'objectif d’observation qui s’accorde à la région désertique d’une feuille blanche, malgré les efforts insistants de le faire sans perdre la lucidité critique autour des projets et des établissements pénitentiaires. Violence articulée à une culture punitive qui réaffirme le sous-sol comme un lieu grotesque de la mort, en niant la possibilité de la naissance vitale de la criminologie, en réaffirmant les logos d'une raison hégémonique astucieuse pour l’anéantissement. De cette façon, il se présente le but de ce travail, être nulle part ailleurs qu'à une discipline, pour un vrai combat de la violence, de la de douleur et de la souffrance que ce souterrain exprime à travers ce langage qui est étrange, et dont ces tripes parlent, la possibilité de rupture du mépris et de la peur du différent, l’irruption de la rencontre éthique. fre |