Ensino profissionalizante, uma experiência malograda: estudo de caso em S. José do Rio Preto

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 1982
Autor(a) principal: Munia, Helaine
Orientador(a): Não Informado pela instituição
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Dissertação
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Não Informado pela instituição
Programa de Pós-Graduação: Não Informado pela instituição
Departamento: Não Informado pela instituição
País: Não Informado pela instituição
Link de acesso: http://hdl.handle.net/10438/9384
Resumo: Le but de cette étude, c'est vérifier si les habilitations professionnelles implantées par la Secrétairerie de l'éducation aux écoles de l'Etat de S. Paulo, sous les auspices de la Loi 5692/71, avaient réellement prépare les jeunes gens qui les avaient conclues pour l'exercice d'une profession, et chercher combien d'élevés issus premier groupe du deuxième degré professionnalisant réussi à être profites selon la qualification obtenue eux. Cette étude s'est limitée aux écoles de le Bureau du Délègue de l'Enseignement de S. Jose do Rio Preto. L'instrumental employé c'est l'interview, car on ne sait quelles directions ont été prises par ces étudiants et on ne sait pas même pourquoi. On a interviewe des élevés et des autorités de l'enseignement. Aux premiers on a applique l'interview structurée et aux seconds l'interview semi-structurée. Parmi les autorités, ont été interviewes des Directeurs d'école, des Superviseurs Pédagogiques et des Assistants Techniques Regional de l'éducation. de la Division On a conclu que le but le plus grand des interviewes c'est la poursuite des études au niveau du troisième degré, but déjà atteint par un numéro expressif de ces élevés: 64,66% de S. Jose do Rio Preto et 31,85% des régions voisines. Mais pas tous ces élevés n'ont réussi a entrer aux cours qu'ils voulaient et non plus aux cours en rapport au deuxième degré conclu: à peine élevés y ont réussi. A propos de la destination pour le travail on peut apercevoir une dispersion très grande de ces jeunes gens: 5,74% travaillent à la profession pour laquelle 'ils ont été prépares, 59,77% sont hors de la branche visée et 34,48% ne travaillent pas encore. En numéro de 19 sont les cours professionnalisent installes et l'on a réussi à cataloguer 38 différents services exécutés par les élevés issus de ces cours, depuis les plus simples comme employée domestique et servant de maçon jusqu'à président d'industrie, ce qui nous mène à croire que tels cours n'ont pas, réellement professionnalise et que la Loi 5692/71 n’a pas été atteint.