O fetichismo do software livre e a reestruturação produtiva da atualidade

Detalhes bibliográficos
Ano de defesa: 2015
Autor(a) principal: Serra Júnior, Gentil Cutrim lattes
Orientador(a): FARIAS, Flávio Bezerra de
Banca de defesa: Não Informado pela instituição
Tipo de documento: Tese
Tipo de acesso: Acesso aberto
Idioma: por
Instituição de defesa: Universidade Federal do Maranhão
Programa de Pós-Graduação: PROGRAMA DE PÓS-GRADUAÇÃO EM POLÍTICAS PÚBLICAS/CCSO
Departamento: DEPARTAMENTO DE SERVIÇO SOCIAL/CCSO
País: Brasil
Palavras-chave em Português:
Área do conhecimento CNPq:
Link de acesso: http://tedebc.ufma.br:8080/jspui/handle/tede/1524
Resumo: Ce travail traite la relation contradictoire entre les Logiciels Libres et les Logiciels Propriétaires, montrant que, dans le contexte historique dans lequel s’intègre la problématique présentée, il y a une restructuration productive et dans celle-ci s’insère le phénomène étudié. Pour cela, il a été considéré que cette restructuration se présente comme réponse à une crise structurelle, et c’est dans ce contexte que surgit l’idéalisation de la collaboration en masse, avec l’unicité de développement de Logiciels Libres / Code Ouvert (LL / CO). Lors de cette exposition, cette restructuration productive est qualifiée comme un grand changement social et historique, qui implique la lutte de classes. Comme le montre cette étude, la plupart des concepts sur les LL / CO ont été inventés par les intellectuels organiques du capital, qui démontrent un signal clair avec les intérêts de classe, étant donné les transformations nécessaires à la bourgeoisie. De là, nous avons analysé les discours des défenseurs des Logiciels Libres, en précisant leur intérêt sur la di usion de règles des idéologies dominantes, qui attribuent aux technologies le pouvoirs d’émancipation et de l’indépendance de classe. Il a été observé que le récit de la collaboration de masse, présenté par de nombreux théoriciens comme une nouvelle forme d’organisation de la production, dont les technologies assumeraient un rôle central dans la société, falsifie les processus réels de transformation sociale, visant à rendre possible une plus grande accumulation du capital. Ainsi, il a été montré que dans le domaine de travail immatériel et de la collaboration en masse la lutte reste permanente. Il a été vérifié que, dans la perspective du discours d’une révolution technique et scientifique, où les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication sont placées comme instrumentale nécessaire à la collaboration sociale et économique, la collaboration productive de nature informationnelle vise à utiliser la main-d’oeuvre bénévole pour servir les intérêts capitaux, et que de cette manière, le résultat d’un travail collectif des employés et des bénévoles de ce processus, sous la coordination et le soutien financier du secteur public, privé et du secteur tier, devient la propriété de capital. Il a été constaté que, généralement, les codes d’informatiques en caractère libre sont englobés dans le capital, originant l’alimentation de développement de systèmes de licences restrictives, les systèmes dits propriétaires. Ainsi, il est devenu évident qu’un système informatique de type libre, même s’il semble être en marge de la logique du capital et le profit privé, devient fonctionnel aux nouvelles stratégies de restauration de la structure du capital. Il a été démontré, alors, que le Logiciel Libre et le Logiciel Propriétaire forment une unité, une relation organique, une relation dialectique fondée sur la création de l’usine de logiciel. Ainsi, au fur et à mesure qu’on développe un Logiciel Propriétaire, on développe également des Logiciels Libres et vice-versa. Ainsi, on prouve qu’il existe une unité entre la production de LL / CO et le développement de systèmes propriétaires, de sorte que l’un n’existe sans l’autre. C’est ce qui fait en ce que chaque grande invention dans le Logiciel Libre soit suivie par un incrément de Logiciel Propriétaire et que chaque complément dans le Logiciel Propriétaire, à son tour, conduit à de nouvelles inventions libres. Où il peut être conclu que la production collaborative de logiciels est intégrée dans l’univers de la mode de production capitaliste.